Il n’y a de frontière que pour cette plénitude enfin de l’outrepasser
Edouard Glissant
Une récente visite de l’atelier d’Ernest Breleur nouvellement restructuré m’a révélé sa dernière série, Paysages célestes.
Dans le contexte caribéen, l’originalité d’Ernest Breleur dans cette nouvelle série , c’est de privilégier la fonction poétique de l’objet et de l’inscrire dans le champ de la légèreté, du ludique, de l’onirique.
J’ai eu envie de partager ce moment privilégié avec vous dans un Oeil du lézard – HORS SERIE tout à fait exceptionnel, avant de revenir au format habituel des vidéos.
Dominique Brebion
Aica Caraïbe du Sud 
Merci pour vos très beaux témoignages!
Publié par Joel Madelaine | 6 mars 2018, 1 h 32 minUn hors série exceptionnel ! Il y a un travail de mise en scène avec la montée des marches qui permet d’accéder à l’espace céleste, la bande son parfaite… Et Ernest Breleur qui nous livre les secrets de son travail. J’aime toujours l’entendre parler de son travail. C’est à la fois passionnant et inspirant. J’adore.
Publié par Fabienne Cabord | 6 mars 2018, 8 h 32 minBien sûr il y a le plaisir de voir et d’écouter ce reportage qui est déjà en soi une œuvre par sa grande qualité, et puis il y a le témoignage précieux et profond de l’artiste sur son cheminement, presque une radiographie de sa vision artistique ; je ne vois rien à jeter, il nous invite à nous transformer: j’aime le concept de « détournement » qui pour Monsieur Breleur serait » le renforcement poétique de l’œuvre », j’aime également l’image d’un regard débarrassé du moule de la tradition.Merci!
Publié par Joel Madelaine | 11 mars 2018, 2 h 14 min